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Résumé-Quiz

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Agitation: Test initial

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Question 1 sur 8

1. Question
Agitation et agressivité sont toujours combinées.
- Vrai : et la violence qui s’exprime doit automatiquement conduire à la mise en œuvre de moyens de contrôle chimiques ou physiques
- Faux : un patient agité n’est pas forcément agressif. L'agressivité est souvent l'expression de diverses émotions (peur, révolte, irritation, colère, culpabilité, déception) qui découlent de différentes cognitions
Question 2 sur 8

2. Question
Parmi les affirmations suivantes, quelles sont celles qui sont justes (plusieurs bonnes réponses)
- L’origine d’une agitation peut être psychiatrique, organique et/ou toxique.
- La prise en charge de l’agitation relève de l’urgence thérapeutique.
- L’objectif de la prise en charge de l’agitation est double : immobilisation du patient et traitement médicamenteux
- L’objectif de la prise en charge de l’agitation est double : retour au calme et recherche des causes de l’agitation
- Dans le cas des agitations incohérentes, il y a souvent des gestes brusques et bizarres, déambulations, de l’angoisse, de la confusion, désorientation, hypovigilance, délire avec hallucinations et passage à l’acte dont l’imprévisibilité peut surprendre
Question 3 sur 8

3. Question
Parmi les affirmations suivantes, quelles sont celles qui sont justes (plusieurs bonnes réponses)
- En psychiatrie, l’agitation est un symptôme trans-nosographique, c’est-à-dire qu’elle ne dépend pas d’une catégorie diagnostique et qu’elle peut être associée à différents troubles mentaux.
- L’agitation n’est jamais secondaire à des pathologies non psychiatriques.
- L’agitation peut être liée à une intoxication ou à un phénomène de sevrage.
Question 4 sur 8

4. Question
Les signes prédictifs d’un passage à l’acte de violence comprennent (plusieurs bonnes réponses)
- Discours énoncé d’une voix forte, tension et expression faciale agressive, contact oculaire prolongé
- Augmentation des mouvements, menaces verbales, mouvements brusques et diminution de la distance interpersonnelle
- Regard fuyant, stratégie d'évitement, crises de larmes et sentiment de culpabilité
- Syndrôme dépressif, spasmes musculaires, situation de déni
Question 5 sur 8

5. Question
Parmi les affirmations suivantes, quelles sont celles qui sont justes
- La prise en charge initiale comprend des examens cliniques de routine pour tous les patients agités.
- Dans le cas d’une agitation grave incontrôlable, l’examen clinique et paraclinique de routine se font avant la contention et sédation.
- La contention physique est la stratégie de premier recours, même dans les cas d'agitation légère à modérée.
Question 6 sur 8

6. Question
Parmi les affirmations suivantes, quelles sont celles qui sont justes (plusieurs bonnes réponses)
- L’approche relationnelle est la stratégie de premier recours dans les cas d'agitation légère à modérée.
- En cas de contention, il est important de surveiller les indicateurs vitaux de façon adéquate.
- Il vaut mieux maintenir la contention physique même après constatation de la non-dangerosité du patient pour lui-même et/ou pour autrui
Question 7 sur 8

7. Question
Les grands principes de désescalade de l’approche relationnelle sont (plusieurs bonnes réponses):
- Respecter la personne, son espace et établir un contact verbal
- Écouter attentivement ce que dit le patient et être d'accord, ou accepter de ne pas être d'accord
- Exposer les règles et définir des limites claires et proposer des choix et refléter une attitude optimiste
- Maitriser la personne et monopoliser la parole pour expliquer les circonstances
- Menacer la personne si elle ne se calme pas
- Répéter des conseils jusqu’à ce que la personne se calme
Question 8 sur 8

8. Question
Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie de la prise en charge psychiatrique d’urgence ? (Plusieurs bonnes réponses)
- Stabiliser rapidement la crise aiguë, éviter la coercition, traiter le patient dans le cadre le moins restrictif possible
- Constituer une alliance thérapeutique
- Recourir principalement à des interventions physiques et prescrire de fortes doses de sédatifs, quitte à les réduire par la suite
- Ne pas tenir compte des effets tératogènes des psychotropes
- Ne pas impliquer l’équipe soignante pluridisciplinaire

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